Italo De Grandi : Venise, aquarelles

du 11 juin 2020 au 28 février 2021

En compagnie de Capote, Chessex, Cocteau, Fermine, Morand, Nietzsche, Sollers, Tesson, Töpffer, de Régnier, Robles, Roy

Archivage en 2026, soutenu par
la Fondation Ernst Göhner
et la Commune de Corseaux

Dans les dix dernières années de sa vie, Italo séjourne chaque hiver à Venise, attiré par les infinies variations des rapports de la pierre, de l’eau et du ciel, par les caprices muets des brumes ou la transparence musicale de l’air.

Il en ramène des brassées d’aquarelles sereines ou tragiques, somptueuses et délicates, énigmatiques ou gaiement ravies à l’instant, et dans lesquelles la menace de l’impermanence de la ville, rongée par l’érosion, glisse hors du temps.

À la Venise estivale et engorgée Italo préfère celle de la trêve hivernale, du calme, du silence. Il peint toujours sur le motif en janvier et février. Il choisit spécifiquement l’aquarelle : un peu d’eau, quelques pigments, beaucoup d’agilité pour capter transparences et lumières fugaces.

Si Jean d’Ormesson affirme qu’ « Aucune ville au monde n’est plus littéraire que Venise » cette exposition se devait de faire place à la littérature. Sa scénographie est conçue de manière à faire dialoguer les aquarelles avec des citations d’auteurs.

Dans les dix dernières années de sa vie, Italo séjourne chaque hiver à Venise.
Il en ramène des brassées d’aquarelles sereines ou tragiques, somptueuses et délicates, énigmatiques ou gaiement ravies à l’instant.

À la Venise estivale et engorgée Italo préfère celle de la trêve hivernale, du calme, du silence. Il peint toujours sur le motif en janvier et février.

Si Jean d’Ormesson affirme qu’ « Aucune ville au monde n’est plus littéraire que Venise » cette exposition se devait de faire place à la littérature. Sa scénographie est conçue de manière à faire dialoguer les aquarelles avec des citations d’auteurs.

Dans les dix dernières années de sa vie, Italo séjourne chaque hiver à Venise.
Il en ramène des brassées d’aquarelles sereines ou tragiques, somptueuses et délicates, énigmatiques ou gaiement ravies à l’instant.

À la Venise estivale et engorgée Italo préfère celle de la trêve hivernale, du calme, du silence. Il peint toujours sur le motif en janvier et février.

Si Jean d’Ormesson affirme qu’ « Aucune ville au monde n’est plus littéraire que Venise » cette exposition se devait de faire place à la littérature. Sa scénographie est conçue de manière à faire dialoguer les aquarelles avec des citations d’auteurs.

Le catalogue de l’exposition est en vente sur le site www.atelierdegrandi.ch

Cette exposition a obtenu le soutien des institutions et sponsors ci-dessous
nous leur en sommes durablement reconnaissants