Pour agrandir : toucher puis écarter
34_GIM-0605 Étude : Nu au fauteuil de dos
Pour agrandir : toucher puis écarter
34_GIM-0605 Étude : Nu au fauteuil de dos
Wilhelm Gimmi | Non daté
Mine de graphite sur papier | 34 x 26.9 cm
Période parisienne (1908-1940)
Nu | Personnages
Inventaire 34_GIM-0605 | Fondation Wilhelm Gimmi
Photo : Julien Gremaud, Vevey
Collection : Artistes en relation
Musée L'Atelier De Grandi
34_GIM-0605 Étude : Nu au fauteuil de dos
Wilhelm Gimmi | Non daté
Mine de graphite sur papier | 34 x 26.9 cm
Période parisienne (1908-1940)
Nu | Personnages
Inventaire 34_GIM-0605 | Fondation Wilhelm Gimmi
Photo : Julien Gremaud, Vevey
Collection : Artistes en relation
Musée L'Atelier De Grandi
Caractéristiques artistiques
SUJET
Esquisse préparatoire pour "Nu au fauteuil de dos"
Il arrive aussi que Gimmi dessine directement en vue de l’élaboration d’un tableau. Les esquisses ainsi nées sont des œuvres préparatoires qui s’insèrent dans le processus créateur d’une œuvre, en révélant les différents stades de sa conception.
[…] La plupart du temps, en effet, il y apporte des modifications et ce, même après une étape qui peut sembler définitive [la jambe du tableau est repliée, alors qu’elle est étendue sur l’esquisse].
Laurence Rippstein, Catalogue de l’exposition p. 52-53
COMPOSITION
Superposition | Spirale cadrée
La chaise est bien ancrée au premier plan, encadrant le nu. Cet ensemble se détache sur un fond dont la perspective restreinte est peu engageante, bien qu’on en devine une issue sur la droite.
La position du nu, légèrement en spirale des hanches à la tête est accentuée par l’angle des bras qui en renforce la rotation, comme si ce personnage était attiré par un élément situé hors de ce lieu.
TECHNIQUE
Mine de graphite sur papier
L’écriture nerveuse et cursive de ces premières esquisses symbolise l’instant de la conception avec ce qu’il contient de plus inventif, de plus bouillonnant et de plus spontané.
Laurence Rippstein, Catalogue de l’exposition p. 52
Contexte
PÉRIODE
Période parisienne (1908-1940)
A partir des années 30, Gimmi a tendance à représenter ses modèles en buste ou en pied. Les personnages demeurent identifiables, mais l’intérêt premier de l’artiste porte sur la pose et l’attitude, qu’il rend avec le plus grand naturel.
Laurence Rippstein, Catalogue de l’exposition p. 57
portrait
