Casimir Reymond
Dans les dix dernières années de sa vie, Italo séjourne chaque hiver à Venise, attiré par les infinies variations des rapports de la pierre, de l’eau et du ciel, par les caprices muets des brumes ou la transparence musicale de l’air.Il en ramène des brassées d’aquarelles sereines ou tragiques, somptueuses et délicates, énigmatiques ou gaiement…